Autrement dit, jusqu’au 4 novembre, le gouvernement finançait ce supplément directement à même la coupure liée à la disparition du supplément de consultation des spécialistes non chirurgicaux, tout en conservant le 13 % initial pour lui, sans le réinjecter dans la rémunération médicale. Mais maintenant qu’il recule, une question demeure : comment financera-t-il ce supplément sans augmenter le budget global?